La Douleur ne se Divise… !

La Douleur ne se Divise… !

Que dans un doux leurre,

Un Songe qui pour fin meurt,

Dans un parfum de Summer.

La fin de  l’été,

Par faim d’allaiter,

Au lait de Sainteté,

Du sein ?! Oui des nénés,

Les Femmes Basanées,

Qui ne font qu’allaiter,

Des enfants,

Des nouveaux nés.

Adolescents, adultes dans quelques années.

A la fin oui tu meurs,

Avec ou sans demeure,

Avec ou sans douleur,

La douleur ne se divise,

Que dans un doux leurre,

Un Songe qui pour fin meurt,

Dans un parfum de Summer.

La fin de  l’été,

Par faim d’allaiter,

Au lait de Sainteté,

Du sein ?! Oui des nénés,

Les Femmes Basanées,

Qui ne font qu’allaiter,

Des enfants,

Des nouveaux nés.

Adolescents, adultes dans quelques années.

A la fin oui tu meurs,

Avec ou sans demeure,

Avec ou sans douleur,

Qui n’a été partagé,

Que par une, bien aimée,

A la fin oui tu meurs,

Avec ou sans demeure,

Avec ou sans douleur,

Qui n’est divisé,

Que par un doux leurre,

Um moment de Bonheur,

Qui est maintenant achevé… !

La Musique indolor à nos Yeux

Jorge Castro 28/06/2021

https://jorgemanuelluiscastro3.wordpress.com/2023/09/23/

Donnes moi l’Éspoir d’une Chanson!

Ça me fait une belle liquette,

La chemise de Papa….

Cheveux Blancs

Et Tempes grisonnantes

Quarante ans

Et 9 heures Battantes.

La fille de la Sorcière est une Fée…

La folie une Amie

De celle ou de Celui

Qui la possède

Atteint de Schizophrénie

Je la mène ma vie…

Les plus grands Maux

Deviennent des mots d’ordre mentaux

Mal ou Bien dans la vie,

On les a tous un peu chéri

Qu’à cela ne tienne…

J’ai Mal,

Tu Pleures,

Il rit,

Nous sommes

Vous avez

Ils Partent…

BRAVO !

Un grain démontre la beauté de son Sein,

Sur une pointe de pureté,

Ne l’ai pas enfantée.

J’œuvre mes nuits

De lectures,

De sommeil

Et de silence.

Parfois la Musique

Entre dans ma Vie

Apportant du Soleil

A ma tragique nuit.

C’est étrange

Comme un étranger

Peux se sentir Mieux chez lui,

Que dans son Propre Pays

Il est 11heures du Matin

Je me Réveille,

Et prend le chemin,

Qui mène à Mireille.

Main dans la Main

Cela ne nous dit plus Rien….

Jorge Castro 1995

Révisé le 13/08/2023.

Si dans nos cœurs battent des tambours

Si dans nos cœurs battent des tambours ?

C’est qu’on Reparle du Grand Amour,

Du jour à jour avec l’Amour.

Du jour à jour avec Glamour,

Et l’on se dit que c’est pour Toujours,

On construit des Châteaux Fort avec des tours,

Et l’on se touche sans détour,

On s’engage sans retour,

Et l’on se caresse tour à tour,

On partage tout cet Amour

Et l’on se dit que c’est pour toujours,

Même en vivant au jour le jour,

Si dans nos cœurs battent des tambours,

Si tous nous disent qu’ils sont pour,

Ça fortifie tout cet Amour !

Car tous ceux qui après lui courent,

En vivant  le temps à compte à rebours,

Ne rêve en sommes que de l’Amour,

Qui changera toutes leurs nuits en de beaux jours,

Sans lui nous ne sommes riens,

Comme une personne sans Ami(e)s,

La vie va et vient et puis s’enfuit,

Et l’on reste sans retour

Dans une vie qui ne vaut rien,

C’est pour moi ce qui compte le plus,

Cette envie de toujours tout donner,

De rien en rien, de plus en plus,

Et l’on se dit que c’est pour toujours,

Même en vivant au jour le jour,

Si dans nos cœurs battent des tambours,

C’est qu’on reparle du Grand Amour,

Du jour à jour avec l’Amour,

Du jour à jour avec Glamour,

Et l’on se dit que c’est pour toujours,

On construit des Châteaux Fort avec des tours,

Et l’on se touche sans détour,

On s’engage sans retour,

On se caresse tour à tour,

On partage tout l’Amour,

Et tous nous disent qu’ils sont pour,

Et l’on  fortifie tout cet Amour,

Car tous ceux qui après lui courent,

En vivant  le temps à compte à rebours,

Ne rêve que de cet Amour,

Qui changera toutes leurs Nuits en de Beaux Jours,

Si dans nos cœurs battent des tambours,

C’est qu’on revi le grand Amour,

Dès aujourd’hui et pour toujours,

J’veux retourner à tes Cours,

Qui m’ont appris, ce qu’est l’Amour,

À s’caresser sans détour,

Où l’on s’engage sans retour,

À s’Aimer tour à tour

A partager tout cet Amour

À vivre simplement  au jour le jour

Et dans nos cœurs battent des tambours.

Jorge Castro 07/04/2023

Passage à Nouveau Fermé

Passage à nouveau fermé

Tu es de l’autre coté,

Mais celle que j’ai épousée

M’a condamné….

Elle m’a mis la corde au coup ;

Moi qui rêve de tes bisous,

Je sais que tu attends

Peu être que je sois saoul

Moi qui n’ai pas un sou

Pour payer ma caution

Être enfin libéré.

De cette union qui me tu.

Tu es ma seule vérité.

Le seul Amour qui est vrais

La seule cause pour laquelle je joue

De mon sax qui c’est tue.

Jorge Castro

La Douleur ne se Divise… !

La douleur ne se divise,

Que dans un doux leurre,

Un Songe qui pour fin meurt,

Dans un parfum de Summer.

La fin de  l’été,

Par faim d’allaiter,

Au lait de Sainteté,

Du sein ?! Oui des nénés,

Les Femmes Basanées,

Qui ne font qu’allaiter,

Des enfants,

Des nouveaux nés.

Adolescents, adultes dans quelques années.

A la fin oui tu meurs,

Avec ou sans demeure,

Avec ou sans douleur,

La douleur ne se divise,

Que dans un doux leurre,

Un Songe qui pour fin meurt,

Dans un parfum de Summer.

La fin de  l’été,

Par faim d’allaiter,

Au lait de Sainteté,

Du sein ?! Oui des nénés,

Les Femmes Basanées,

Qui ne font qu’allaiter,

Des enfants,

Des nouveaux nés.

Adolescents, adultes dans quelques années.

A la fin oui tu meurs,

Avec ou sans demeure,

Avec ou sans douleur,

Qui n’a été partagé,

Que par une, bien aimée,

A la fin oui tu meurs,

Avec ou sans demeure,

Avec ou sans douleur,

Qui n’est divisé,

Que par un doux leurre,

Um moment de Bonheur,

Qui est maintenant achevé… !

La Musique indolor à nos Yeux

Jorge Castro 28/06/2021

Prénatal! Avant et Après

Comment vous dire que je suis un géant de l’agriculture; né d’une aventure agro sapiens, sans détour ni demeure je vais vous le conter sur l’heure…. ! J’étais dans les testic de papa, passé dans l’utérus de maman, je me suis logé dans un ovaire bien sage et très ma mère, sans raison apparente pour naître, si ce n’est que naître pour bien être, je me suis assagie avec l’âge prénatal, maintenant que j’ai grandi je me dis que de folie j’ai pu commettre, à la vue de cette si petite fenêtre, je suis né dans un nid de faucon. Je me suis souvent pris pour un aigle mais me suis comporté comme un poussin. Ma poule m’a dit. «Je t’aime mon chéri». Jorge Castro

Jour après Jour

Moi sans Toi,

J’ai plus d’abri

Plus de ciel qui m’éclairci

J’ai plus de Lune qui m’éblouie

J’ai plus d’Amies

Ni Plus de Vie.

Mais sans Toit ?

J’ai plus d’Amour

Plus de chez moi,

Au lever du jour

J’ai plus d’glamour

Et plus d’ennuies

Je mène ma vie

Au Jour le Jour

Mais cette fi

Y’a plus d’retour.

Jorge Castro

31-12-2020